L'Idylle a choisit les solutions Trivec pour se concentrer totalement sur son activité.

Nous nous sommes rendus à Biscarrosse pour rencontrer Jonathan Besse le propriétaire de l’Idylle. L’établissement à la fois restaurant, bar et Beach club, est idéalement situé au bord de l’eau, sur une plage de 3 000 m², entre océan et forêt landaise.

Trivec, un choix évident

Jonathan Besse, propriétaire de l’Idylle, travaille avec Trivec depuis 18 ans et est très satisfait de la solution. Sa première expérience avec l’outil s’est faite au sein d’une structure où il était employé et il a été impressionné par la facilité d’utilisation de la caisse Trivec et l’excellente performance opérationnelle. Lorsqu’il a ouvert l’Idylle en 2017, ce fut un réflexe de choisir Trivec comme fournisseur de système de caisse restaurant.

La caisse enregistreuse Trivec, pilier de l’organisation

Pour l’Idylle, Jonathan Besse a choisi de reproduire un système qu’il avait déjà adopté dans d’autres lieux : privilégier l’utilisation d’écrans tactiles positionnés à différents endroits de l’établissement. Le nombre d’écrans est adapté au volume de commandes qui peuvent être envoyées en cuisine. Et en fonction des événements, il peut être nécessaire d’augmenter le nombre de caisses. Cette organisation permet de centraliser la gestion des commandes et de rendre le service plus fluide. L’Idylle peut accueillir jusqu’à 400 couverts en un service et a ainsi besoin d’un système de caisse robuste et toujours opérationnel.

« Le système de caisse Trivec s’adapte à notre façon de travailler, ce qui est essentiel pour nous. »

Du côté des équipes, l’apprentissage du logiciel est très rapide. L’interface est facile à prendre en main et le système offre de nombreuses fonctionnalités.

 

Un excellent service clients

M. Besse n’a jamais envisagé d’essayer un autre logiciel, notamment parce que le service clients de Trivec est très attentif aux besoins de ses clients, il accompagne ses utilisateurs et s’assure que la solution fonctionne correctement. Chaque année depuis 7 ans, le restaurant l’Idylle, en collaboration avec les équipes de Trivec, adapte et repense son organisation en fonction de ses besoins et des ressources qu’il utilise au quotidien. Et à chaque fois que quelque chose se met en place, M. Besse sait que tout se passera bien et que lui et ses équipes n’auront pas de point de frictions. Et en cas de problème, des solutions sont toujours proposées et, surtout, le problème est résolu très rapidement.

« Depuis des années, l’équipe d’assistance technique s’occupe de nous, et ce toujours de manière exceptionnelle. Le service client de Trivec, c’est 10 /10 ! »

Un service après-vente de confiance

Depuis l’ouverture du restaurant, c’est toujours la même personne qui assure le service après-vente de l’Idylle. Bien que le restaurant entretienne également des liens étroits avec le reste de l’équipe. Selon Jonathan Besse, Trivec est devenu un véritable partenaire depuis qu’ils ont commencé à travailler ensemble il y a 18 ans.

Augmenter le chiffre d’affaires avec Trivec

Le système d’encaissement de Trivec est le socle technologique de l’organisation quotidienne de l’Idylle. Il leur permet de gérer un volume considérable de couverts dans un espace extérieur étendu avec une offre diversifiée. Cette organisation leur permet de délivrer chaque jour la meilleur prestation sans jamais avoir à se préoccuper ni même à penser aux détails techniques. Pour continuer à augmenter son chiffre d’affaires, le restaurant peut utiliser de nouvelles fonctionnalités telles que des QR codes dans la zone des transats ou des beepers.
Chaque année, un restaurateur doit faire des choix en matière d’investissements, d’amortissements et de rentabilité. Il s’agit de s’adapter aux nouvelles possibilités et Trivec accompagne ses clients dans cette démarche.

« Si j’ouvre un nouvel établissement, je retravaillerai sans hésitation avec Trivec. »

Comment réussir en 2024 ?

Gérer l’inflation en achetant plus intelligemment

Face à la hausse des prix des denrées alimentaires, l’Idylle a décidé de mieux choisir ses produits et de surveiller de près les prix des matières premières. Les fournisseurs sont choisis avec plus d’attention, produit par produit. L’achat local peut être moins coûteux et est souvent synonyme de qualité. Pour compenser ces augmentations, l’entreprise a également choisi de mettre l’accent sur les produits à plus forte marge. Par exemple, ils ont réduit l’utilisation de produits haut de gamme, qui sont plus coûteux. L’objectif principal était d’éviter de devoir augmenter les prix des plats et des boissons. L’établissement rêvait même de baisser les prix de certains d’entre eux, et cet objectif a été atteint.

« Nous nous devons de trouver des solutions pour que les clients n’aient pas à supporter les conséquences de ce type de situation. »

En ce qui concerne les plats, Jonathan Besse n’a pas choisi de réduire les portions puisqu’elles sont déjà proposées à des prix supérieurs à la moyenne, variant entre 20 et 30 euros. Plutôt que de retirer ou diminuer certains ingrédients, il privilégie l’amélioration des achats lorsque c’est possible.

L’avenir est dans la gestion du personnel

« Je suis plus préoccupé par le fait de m’assurer que les 30-35 personnes que j’emploie ont un salaire et travaillent dans un environnement agréable.  »

En ce qui concerne l’embauche et la gestion du personnel, Jonathan Besse a continué à faire tout ce qu’il faisait avant la crise du COVID. Il demande à chaque employé quelles sont ses attentes en matière de travail et essaie de s’y adapter autant que possible. Il tient compte de leurs préférences en matière d’heures supplémentaires et fait de son mieux pour les organiser de manière à ce que tout le monde soit satisfait.

Ainsi, malgré les défis posés par la crise sanitaire, le manque de personnel et l’inflation, Jonathan Besse et son équipe de l’Idylle avec Trivec, ont démontré une grande capacité d’adaptation qui leur permet de continuer à offrir un service de qualité, tout en conciliant les investissements, les besoins réels des établissements, ainsi que sa rentabilité.