Versuz

Versuz est un nom bien connu, à Hasselt comme ailleurs. La célèbre boîte de nuit regroupe plusieurs établissements de type horeca depuis plusieurs années déjà. Outre le dancing et le restaurant Crudo, l'enseigne possède entre autres le bar d'été Ipanema et les bars d'hiver Moose, dans divers emplacements en Flandre. Elle organise par ailleurs régulièrement des événements b2b.

Versuz est une entreprise florissante qui vend quotidiennement de nombreuses consommations. Pour faciliter ses opérations de paiement, elle a intégré dès le début le système de caisse Trivec.

Performant

Thijs Berben, cogérant et manager de Versuz, relate :

Il y a plusieurs années, nous cherchions un système de caisse performant. Nous fûmes très vite séduits par l’offre de Trivec. En tant que leader en systèmes de caisse pour l’horeca, Trivec proposait incontestablement l’offre la plus appropriée à notre activité. Vu la taille de l’entreprise, ce système de caisse nous est aujourd’hui indispensable.

Les samedis soir, Versuz atteint rapidement les 10 000 transactions. Le système de caisse automatisé de Trivec évite tout risque d’erreur.

« Le système d’encaissement et l’association du bar automatisé est très intéressant. Le verseur magnétique fixé sur le goulot de la bouteille facilite l’enregistrement et le dosage de chaque bouteille. Cela permet de contrôler le nombre exact de boissons servies chaque jour. En principe, le personnel ne sert jamais plus de verres qu’il n’en a encaissés. Le système d’encaissement est donc verrouillé. »

Automatiser

Lorsque Versuz déménagea voici quelques années, il profita de l’occasion pour moderniser son système de caisse par la dernière version.

« Je conseille à toutes les entreprises évoluant dans l’horeca – surtout les bars – de solliciter Trivec, afin de sécuriser les encaissements du bar. L’investissement peut paraître substantiel de prime abord, mais il est très rapidement amorti. Car vous seriez surpris du nombre de consommations non payées et mal dosées. L’automatisation permet d’éviter les pertes sèches. »